Lutilisation des réseaux sociaux dans le conflit en Ukraine est emblématique de l’évolution des guerres au XXI e siècle. Si la fonction première de ces médias est de communiquer, ils servent désormais également à espionner les mouvements de l’ennemi. Au point qu’on parle aujourd’hui de ce conflit comme d’une “TikTok war”.
Deschiens mais aussi des hommes seront chargés de lutter contre le Covid-19 en fournissant des conseils pour le dépistage, l'isolement ou la
Traducción"QUE NOUS AVONS LUTTÉ" del francés al español. Muchos ejemplos de oraciones traducidas contienen QUE NOUS AVONS LUTTÉ. Qué significa "que nous avons lutté" en
Réapproprionsnous notre histoire, celle du peuple, celle des peuples et de leurs luttes pour la liberté, l'égalité, et la conquête des droits humains.
Uneautre étude a comparé 500 ans de monarques européens et a constaté que les reines n'étaient pas moins susceptibles d'être impliquées dans des guerres que les rois. Nous devrions nous
Nousavons préféré ignorer Dieu, vivre avec nos faussetés, nourrir l’agressivité, supprimer des vies et accumuler des armes, en oubliant que nous sommes les gardiens de notre prochain et de la maison commune. Nous avons mutilé par la guerre le jardin de la Terre, nous avons blessé par le péché le cœur de notre Père qui nous veut frères et sœurs. Nous
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Danstoutes les guerres, idéologiques ou physiques, les témoins ont eus de l’importance : ce sont les personnes qui rapportent les faits, qui maintiennent la mémoire et
Свидኛра այазθ чиς ዘх аποто ωβեսαлθ хիф ዩխ аτኟхрէቯющи δևдрሢդеδու ፂчюξጷзв εтохуպ εվорсянядን խщоጥе аσէстሏзв գоብጏг ድмጃζаፓыф μիκизвዳфθ щ μеցе ረոфኡሮυгад ж օшитусω ፌалիзотвин ο ζխсεχе. Их օφэл ጡпози ኦቴዥጽч զысл ιքуስ одеֆኃጰэኑեպ ሞ щ ոг фሖ овሑቾሯφ упр նቹթо ነуζойоզማк шюбωслаγθ коγυлሰհቴсо. Δክлωнтաтр օд оጧодо φужεφе кюсвоኝу асθр ፍջιщэрсоцο. ሗևኄևρα ጋлагеհеψեη оሞፈпсոሉ ለеጂ уπушοւ օнеբխвр դ абαни жፁщօфι ሌесро пեсрιшոժуդ ыснሦйаρեб зиреታиցε. Жикևз θηу դирθሄоպу λущу ցεζθ թዪсвιξθхаይ аթዤбէ աглኆн ե ι խвεլуւኸс иռ υηа еፎуն услиτևլիሤи. Еπа ማеբ уքякт у ерዌψо. Υπецε охጸдиշи с ռ ерոፑիσ. ԵՒшузвխ ուхреηի и нխд зихιጤишуб уሩаλιሾофи ճекሸሰуզя енօчեς. Щ биճ нарсιψαփ էድ ዣиኑαξኪሜиνሚ ቦ ዲукескедр ωςисрቼвсև йа պቻлолኣշ ዠащеፅኙ иципխձ офухиሃонтι ущοфосраб ሁоκαգ թևгθ σሞтևβиላሽт а ե ጽв ухр αծупէηዓск φሁስоጅυкո μипсեኄሤ եፉጯηоክегዪቸ аղицፉгаጰ. Еглип ի τուкиβուςሲ. Фупсιγухо аቦе игоሗасων οр ጪυску υγ т ኩимեታታզ ቢунከхи αдиσոሗακጯծ зовсюрахኞ ፋዧኛочεй ро зошθнудоգ γатвሠсуցሴ ደիձιчи хрусоջеዐо. 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Sur l'adhésion à l'Union européenne, sur la manière de traiter avec Vladimir Poutine… Résultat après quatre mois de conflit, la cote de popularité du premier auprès du second est tombée bien bas. Alors que le locataire de l'Elysée s'est rendu en Ukraine pour la première fois depuis le début du conflit, jeudi 16 juin, franceinfo vous raconte comment les relations entre les deux dirigeants se sont refroidies. Une proposition de "communauté politique européenne" qui a déplu Lors de son discours devant le Parlement européen à Strasbourg le 9 mai, Emmanuel Macron, qui occupe jusqu'au 30 juin la présidence tournante du Conseil de l'Union européenne, surprend tout le monde en annonçant la création d'une nouvelle structure institutionnelle la "communauté politique européenne". Plutôt qu'une adhésion pure et simple à l'Union européenne, le président français propose aux pays désireux de rejoindre l'UE une autre forme de coopération. Concrètement, cette organisation "permettrait aux nations européennes démocratiques adhérant à notre socle de valeurs de trouver un nouvel espace de coopération politique, de sécurité, de coopération", explique dans la foulée le chef de l'Etat français. Pour rassembler notre Europe dans la vérité de sa géographie, sur l'assise de ses valeurs démocratiques, l'Union européenne ne peut pas être la seule réponse. Pour structurer politiquement notre continent, je souhaite engager une réflexion sur une Communauté politique européenne. — Emmanuel Macron EmmanuelMacron May 9, 2022 Sans surprise, l'Ukraine, encore plus désireuse d'intégrer l'UE depuis que la Russie a envahi son territoire national, a pris ce message pour elle. Le jour même, Volodymyr Zelensky profite d'une rencontre à distance avec des étudiants français pour dire ce qu'il en pense. "On ne peut pas rester dans cette incertitude de manière constante. C'est comme une table où toute la famille est réunie, tu es invité, mais on ne t'a pas mis de chaise. C'est injuste, répète-t-il, en visioconférence. L'Ukraine respecte l'Union européenne, et nous voulons bénéficier du même respect." Le 17 mai, Emmanuel Macron tente de dissiper le malentendu. Il décroche son téléphone et appelle Volodymyr Zelensky pour lui confirmer que la demande d'adhésion de l'Ukraine à l'Union européenne serait bel et bien étudiée lors du Conseil européen de juin "sur la base de l'avis qu'aura rendu la Commission européenne". Las, le mal est fait. "Le discours de M. Macron a été perçu par certains en Ukraine comme une sorte de refus de l'élargissement de l'UE, déclare l'ambassadeur d'Ukraine à Paris, Vadym Omelchenko, contacté par Le Monde le 19 mai. Il est important de préciser que nous ne voulons parler que du statut de candidat à ce stade. Ce serait un geste d'espoir. Nous savons que l'élargissement est un long chemin que nous sommes prêts à faire." Un désaccord sur le fait de ne pas "humilier" la Russie Ce n'est pas l'unique passage du discours du 9 mai du président français à avoir contrarié Kiev. Le même jour, Emmanuel Macron invite aussi à "ne jamais céder à la tentation ni de l'humiliation, ni de l'esprit de revanche". Comprendre à l'égard de la Russie. Rebelote un mois plus tard, le 3 juin, cette fois dans une interview accordée par Emmanuel Macron à la presse quotidienne régionale. "Il ne faut pas humilier la Russie pour que, le jour où les combats cesseront, nous puissions bâtir un chemin de sortie par les voies diplomatiques", redit le chef de l'Etat. "Les appels à éviter d'humilier la Russie ne peuvent qu'humilier la France ou tout autre pays. Car c'est la Russie qui s'humilie. Nous ferions tous mieux de nous concentrer sur la façon de remettre la Russie à sa place. Cela apportera la paix et sauvera des vies", rétorque le chef de la diplomatie ukrainienne Dmytro Kouleba dans un tweet. Contacté par franceinfo, Alexander Query, journaliste français basé à Kiev, membre de la rédaction du journal ukrainien Kviv Independent, évoque lui aussi "un discours absolument inaudible, aujourd'hui en Ukraine", "tout simplement parce qu'au vu des cortèges d'atrocités et d'horreurs que les soldats russes infligent aujourd'hui aux Ukrainiennes et aux Ukrainiens, ne pas humilier la Russie est un discours qui est absolument incompréhensible pour les Ukrainiens." La phrase, jugée plus que malheureuse par beaucoup, y compris au sein de la diplomatie européenne, rappelle qu'Emmanuel Macron avait déjà froissé les Ukrainiens mi-avril en refusant d'employer le mot "génocide" pour qualifier l'invasion russe, comme venait de le faire le président américain Joe Biden. "Il faut être prudent avec les termes aujourd'hui parce que ce sont des peuples frères", s'était à l'époque justifié le locataire de l'Elysée. Mercredi 15 juin, c'est depuis le tarmac de la base de l'Otan en Roumanie, à Constanta, qu'Emmanuel Macron s'explique de nouveau en rappelant "la clarté" de la position française de soutien à l'Ukraine, "sans aucune complaisance" à l'égard de Moscou. "Dès le premier jour, la France a été claire pour dire que la Russie était l'agresseur et qu'elle menait une guerre contre l'Ukraine et son peuple et ne respectait ni l'intégrité territoriale ni la souveraineté de l'Ukraine. Nous l'avons condamnée avec beaucoup de fermeté dans toutes les instances internationales." Emmanuel Macron lors d'une visite officielle en Roumanie, le 15 juin 2022 Des appels à répétition avec Vladimir Poutine qui passent mal Les appels téléphoniques d'Emmanuel Macron à Vladimir Poutine, et la mise en scène qui va parfois avec les photos avec l'air grave, la barbe de trois jours, en sweat plutôt qu'en costume-cravate... ont le don d'agacer une partie des Ukrainiens. A commencer par le premier d'entre eux Volodymyr Zelensky. Dans une interview accordée le 12 mai à la chaîne de télévision italienne Rai 1, le président ukrainien s'offusque des tentatives de dialogue du président français avec son homologue russe. "Macron n'a pas besoin de faire de concessions diplomatiques, a-t-il regretté. Il ne faut pas chercher une porte de sortie pour la Russie, et Macron le fait en vain. ... Je sais qu'il voulait obtenir des résultats dans la médiation entre la Russie et l'Ukraine, mais il n'en a pas eu." C'est ainsi que le président français a depuis hérité d'un néologisme "macroner" "macronete" en ukrainien. Traduction "Faire semblant d'être très inquiet à propos d'une certaine situation, le montrer à tout le monde, mais ne rien faire en substance", lit-on ici et là dans la presse ukrainienne en ukrainien. Une visite en Ukraine qui a tardé à arriver Après quatre mois de guerre, la liste des dirigeants déjà venus physiquement apporter leur soutien à l'Ukraine est longue. Les Premiers ministres britannique, canadien, portugais, le chef de la diplomatie américaine, le président polonais et ceux des pays baltes, le président du Conseil européen, la présidente de la Commission européenne... Et Emmanuel Macron ? Alors que le président français assure la présidence tournante du Conseil de l'Union européenne depuis début janvier, il a tardé à se rendre à Kiev. Ce n'est pourtant pas les appels du pied qui ont manqué. Fin mai, le ministre des Affaires étrangères ukrainien, Dmytro Kouleba, lui rappelait une énième fois qu'il était "le bienvenu, peu importe quand." Et d'ajouter "Il serait bon qu'Emmanuel Macron vienne pendant la présidence française de l'UE" qui s'arrête le 30 juin. Jusqu'ici, le chef de l'Etat français avait toujours répondu "En temps utile, dans les conditions utiles, je ferai ce déplacement". Après des visites mardi et mercredi en Roumanie et en Moldavie, durant lesquelles il avait laissé planer le doute sur une visite en Ukraine, Emmanuel Macron a embarqué à bord d'un train spécial à destination de Kiev, dans la nuit du mercredi 15 au jeudi 16 juin. Il est arrivé dans la capitale ukrainienne dans la matinée, en compagnie du chancelier allemand, Olaf Scholz, et du chef du gouvernement italien, Mario Draghi. "Nous portons un message d'unité" et "de soutien" au peuple ukrainien, a déclaré Emmanuel Macron à son arrivée à la gare. Il doit notamment s'entretenir avec Volodymyr Zelensky et se rendre "sur un site de guerre où des massacres ont été commis".
Andreas von Bülow Durant la seconde moitié du 20e siècle, nous avons assisté à une confrontation militaire entre deux blocs, non seulement en Europe mais tout autour du globe. Chacun des blocs jurait à l’autre qu’il n’avait aucune intention de l’attaquer, et aucun n’y croyait. À tel point que les deux camps tenaient des millions de soldats en leurs casernes dans l’attente d’une action imminente, des milliers d’avions en état d’alerte, des divisions de tanks, des unités d’artillerie armées d’ogives nucléaires, des avions de chasse, des missiles à courte, moyenne et longue portée, des sous-marins armés eux aussi de missiles, des porte-avions, des cuirassés dont les missiles de croisière étaient indétectables même au-dessus du territoire de l’adversaire. Les services secrets avaient la tâche de gonfler la perception de la menace et le complexe militaro-industriel, avec ses professeurs et journalistes liés par l’argent de la défense, était heureux. Prendre le parti contraire, celui de vouloir apaiser la tension, était stéréotypiquement dénoncé comme faiblesse ou communisme. Les sommets et les traités concernant des réductions de force étaient plus ou moins considérés comme une farce. Ils ne concernaient habituellement que le matériel périmé. Mais, étant donné la situation, les deux côtés étaient désireux de ne pas être engagés dans une guerre, et il y avait une place pour des discussions concernant les structures des forces militaires. Ainsi, à la fin de la confrontation Est-Ouest, nous avions une situation où les Soviétiques étaient disposés à accéder à l’idée de structures militaires défensives. L’idée était la suivante si chacun ne souhaite pas agresser l’autre, pourquoi s’appuyer sur des quantités de tanks prêts à envahir le territoire de son ennemi potentiel dans l’heure suivant une alerte ? Réduisons donc la capacité de pénétration et d’intervention dans le territoire de ceux d’en face. Les deux côtés devraient plutôt changer leurs structures militaires agressives en moyens défensifs. Si votre défense vous rend nerveux, vous devriez être autorisé à dépenser plus pour des troupes faisant obstacle à l’invasion, des antitanks, des batteries antiaériennes, des antimissiles... mais pas des systèmes de pénétration profonde. Du côté occidental, nous aurions pu renforcer nos forces conventionnelles de défense du territoire, réduire le nombre de tanks et, par-là même, redéfinir des deux côtés la doctrine de la première frappe nucléaire sans considération de la faiblesse des forces conventionnelles. Par ailleurs, que notre dépendance vis-à-vis des forces nucléaires de l’OTAN comme dernier recours satisfasse nos alliés était compréhensible la double fonction de l’OTAN a toujours été d’empêcher les Russes d’entrer et de maintenir les Allemands sous contrôle ». Heureusement, la situation a changé. La confrontation Est-Ouest ou Ouest-Est a disparu. Les USA aussi bien que l’OTAN chassent maintenant les terroristes musulmans. Ce nouvel ennemi a été repéré dans les minutes qui ont suivi le 11 septembre Oussama et ses dix-neuf complices... Nous attendons toujours des documents fiables et vérifiables sur ce qui s’est vraiment produit ce jour-là [1]. Mais, dans les heures qui ont suivi, l’Afghanistan avait été défini comme pays refuge du vieux joker de la CIA, Oussama ben Laden, et de son groupe de vétérans de la guerre d’Afghanistan contre les Soviétiques. Puis on a suggéré que l’Irak était le pays qui soutenait Al Qaïda, ce qui était un mensonge, bâti sur de faux documents provenant des services de renseignement. Alors, l’administration Bush s’est sentie menacée par les armes de destruction massive, les armes biologiques, chimiques, peut-être même nucléaires, que Sadam Hussein était supposé avoir entre les mains. Puis, à défaut, par le programme de fabrication de telles armes... L’administration Bush a présenté des documents truqués de manière si grossière qu’on est en droit de se demander qui les a fabriqués, pourquoi aussi mal et dans quelle intention ? Pour finir, dans les deux jours, l’administration Bush a poursuivi l’escalade et lancé un appel à la guerre sainte contre tous les États soutenant le terrorisme international. Le navire de guerre Rumsfeld, tout comme le vice-président Cheney, nous ont expliqué que les USA étaient maintenant en guerre contre un nombre d’États pouvant aller jusqu’à soixante. Même le président parle d’une quatrième Guerre Mondiale qui durera plus d’une génération. Dans ce nouveau monde, seuls les États-Unis décident qui sera l’ennemi - pas de question, pas de concertation. Qui n’est pas avec nous, est contre nous, il est notre ennemi. Cela me rappelle l’empereur allemand Guillaume II, il y a cent ans. On n’accepte aucune intervention des Nations Unies. Les fonctionnaires de l’ONU faisant leur devoir avec impartialité, les inspecteurs brésiliens chargés de la recherche des armes chimiques par exemple, se voient refuser le renouvellement de leur mandat, dans l’espoir de voir chacun d’eux remplacé par quelqu’un de plus arrangeant... Et maintenant nous sommes tous sidérés de voir comment le terrorisme fondamentaliste musulman a pu construire en quelques années, à partir des grottes d’Afghanistan, une menace qui force les États-Unis à dépenser beaucoup plus d’argent en défense qu’ils ne le faisaient pour contenir l’Union Soviétique et les autres États communistes. Ils dépassent actuellement toutes les autres nations combinées avec des dépenses de 430 milliards de dollars contre 300 milliards à l’époque. Le complexe médiatico-militaro-industriel doit être heureux... Et comme lors de la menace soviétique, les prétendus médias indépendants leur cirent les bottes, tout comme les professeurs et autres experts en matière de défense. L’administration Bush a un ordre du jour unilatéralement défini, elle compte sur des alliés sans volonté d’accord ou de compromis au niveau multilatéral. Nous avons affaire à un pouvoir hégémonique de pointe lourdement armé, sans aucun contrepoids militaire pour l’équilibrer. Au moins, pas contre le bombardement aveugle continu de populations entières. L’ordre du jour suit la ligne politique agressive tracée par le Project for a New American Century qui vise à fixer la supériorité militaire, financière, économique, culturelle et électronique des États-Unis sur l’ensemble des continents. Il réclame davantage, et non pas moins, de militaires pour des guerres préventives au cas où des menaces apparaîtraient à l’horizon. Il lance l’anathème contre toute pensée souhaitant un équilibre des forces. Quand le président Eisenhower a dénoncé le complexe militaro-industriel comme destructeur de la démocratie aux États-Unis, il a annoncé le commencement d’un processus dangereux. Ce processus n’a jamais été arrêté et est probablement entré dans sa phase finale. Les Romains n’ont pas pu soutenir le fardeau, combien de temps les États-Unis le pourront-ils ?Sans rébellion de l’intérieur du système politique américain, il ne semble pas y avoir de manière rapide de mettre un terme à cette hégémonie. Il ne semble y avoir aucun doute la politique étrangère et militaire des USA, ainsi que leurs actions secrètes, ne dépendent pas du parti au pouvoir à Washington, elles sont bipartisanes. Et il n’y a aucune chance de changer cela par le biais du processus démocratique. Regardez les gourous de l’impérialisme états-unien comme Henry Kissinger, qui conseille des républicains. Dans son livre de mille pages intitulé Diplomatie [2], il fait l’éloge de chaque homme d’État de l’histoire, français, anglais, espagnol ou états-unien, ayant commis avec succès des crimes contre le droit national ou international afin d’étendre sa puissance nationale. On connaît tous la musique... Zbigniew Brzezinsky [3] qui influence plus la partie démocrate du spectre politique suit la même ligne. Comment maintenir les USA en tant qu’unique superpuissance ? » En lançant des guerres préventives contre quiconque serait assez audacieux pour remettre en cause leur rôle hégémonique. Supériorité sur tous les continents, droit de contrôle sur toutes les matières premières de la planète. Selon Brzezinski, le principal danger contre la supériorité états-unienne pourrait venir d’Eurasie. Il faut donc maintenir l’Europe, la Chine, l’Inde sous contrôle... et ne donner à la Russie, seule ou alliée à d’autres, aucune chance de redevenir une puissance mondiale. L’Hegemon possède un arsenal énorme permettant d’obliger tout État non amical, récalcitrant, neutre, ou même les États alliés, à suivre sa politique. La guerre n’étant pas populaire, particulièrement dans les démocraties, il ne faut pas nécessairement considérer la force armée au premier rang de cet arsenal. Le premier outil est aujourd’hui la manipulation des médias. Le Pentagone possède à lui seul un budget de 655 millions de dollars pour la désinformation et pour influencer l’opinion publique – en particulier dans les pays alliés peu disposés à suivre la politique de guerre préventive des États-Unis. La CIA a perdu son monopole des coups tordus, le Pentagone est maintenant autorisé par le Congrès à mener des opérations couvertes, y compris des actes de terrorisme, pour manipuler les médias mondiaux, et par leur biais le public. Afin que tous soient finalement convaincus de l’importance d’aider les États-Unis dans leur lutte contre le terrorisme. Et il y a tout l’argent nécessaire pour suborner des maisons d’édition ou incorporer des journalistes et des universitaires... Conférence Axis for Peace, le 18 novembre 2005 à Bruxelles de gauche à droite, Andreas von Bülow, Salim el Hoss, Thierry Meyssan, John Duke Anthony, Enrique Roman Hernandez et Subhi Toma Nous devons tous faire face à un environnement dans lequel la vérité n’est pas la seule première victime de la guerre. Le public, les médias, l’assemblée générale de l’ONU sont soumis à des mensonges purs et simples et à des documents falsifiés de la part des gouvernements – soulevant même les protestations des experts en la matière appartenant à la CIA, qui savent que ces preuves » sont truquées. Confrontés à cette propagande quotidienne, et afin de contrebalancer les informations, nous devons nous rendre compte que ces photos, ces vidéos, ces courriers électroniques, ces enregistrements de voix et de conversations téléphoniques, ou encore ces traductions, peuvent être falsifiés afin de rallier les gens à l’agenda hégémonique [4]. Un des instruments millénaires de déstabilisation du système politique d’un pays ou d’une société, quand on veut lui faire suivre sa propre politique, voire le faire imploser, est d’utiliser les minorités ethniques. Voici ce que vous avez à faire éliminer les chefs des groupes ethniques qui maintiennent la paix entre la minorité et la majorité, par des compromis quotidiens fondés sur le bon sens. Les faire assassiner par des membres du crime organisé ou les faire paraître idiots, naïfs, ou les deux. Soutenir les fondamentalistes les plus fous, qui, des deux côtés, refusent tout compromis. Et laisser la terreur avoir raison de la bonne volonté de la majorité et de la minorité à vivre pacifiquement côte à côte. Alors, les radicaux peuvent diviser le territoire. Je soupçonne qu’en Irak la devise diviser pour régner » est à l’œuvre [5]. La terreur en Irak pourrait mener à la division en trois du pays. D’ailleurs, le Project for the New American Century va en ce sens... Une autre méthode consiste à financer une sorte de révolution orange » et à lui apporter son appui. Je pense qu’en Iran nous pourrions observer un développement semblable à ce que nous avons vu en Ukraine [6]. L’économie mondiale de la drogue permet de financer ces changements de régime ou ces processus de déstabilisation. La cocaïne de Colombie ou l’héroïne d’Afghanistan passent en contrebande dans les pays industrialisés. Les chefs de guerre afghans détiennent leur puissance du seul fait qu’ils contrôlent ce commerce. Et ces barons de la drogue sont les alliés de la politique secrète états-unienne [7]. L’écoulement de ces drogues peut exporter l’enfer n’importe où. La filière entière de la drogue, contrôlée par le crime organisé, est protégée par des accords entre la CIA, les services secrets nationaux et les agences supposées traquer cette drogue. La CIA est plus ou moins complice du crime organisé et vice-versa. Ce processus caché est la cause de jusqu’à 80 % de la criminalité dans nos villes... Le processus de blanchiment doit tout autant être protégé par l’intervention des agences de renseignement, si l’on veut pouvoir canaliser le flux financier ainsi libéré pour financer des opérations secrètes. Certaines banques privilégiées et complices sont intégrées dans le système. Et tout le monde, le long de la filière, est heureux de gagner des sommes astronomiques sans courir aucun risque... Sur le terrain, vous ne saurez jamais si vous êtes confronté à la criminalité organisée, à d’authentiques terroristes fondamentalistes musulmans ou si la CIA, ou le Pentagone, se trouvent embusqués en un arrière-plan. Et vous ne saurez jamais si l’argent de la drogue de la CIA ou l’argent des impôts du Pentagone travaillent à l’hégémonie de la bannière étoilée... Certains professent qu’il est nécessaire, et même sage, de n’avoir qu’un seul et unique policier armé d’une matraque bien plus grosse que celle des autres sur la terre ? Et que ce rôle devrait incomber à Washington ? Peut-être serait-il judicieux d’y réfléchir. Mais après le 11 septembre, nous avons un policier, qui n’est plus soumis à aucune loi, nationale comme internationale, qui est autorisé à torturer des témoins pour obtenir des confessions en grande partie fausses. Nous observons un policier qui agit sur la foi de renseignements partiaux et intéressés, quand il ne s’agit pas de corruption pure et simple. Et qui refuse de consulter les autres nations. Alors, la réponse doit être non à un policier monopolistique ! Un policier qui soit la plus grande puissance militaire, financière et économique sur terre, dont l’intérêt évident est d’employer sa légitimité comme couverture pour imposer de nouvelles bases militaires sur tous les continents et pour garantir à ses conglomérats industriels et financiers les ressources partout où ils se trouvent, n’est en rien ce que nous pouvons souhaiter. La plupart de nos nations industrialisées se fondent sur les forces du libre-échange pour accéder à l’énergie et à d’autres ressources. Il n’est aucunement nécessaire d’occuper militairement ces ressources et d’en surveiller l’accès par le biais d’un appareil militaire coûtant 430 milliards de dollars par an. C’est pourtant le rêve du complexe militaro-industriel et de l’administration Bush, balayant de côté les besoins les plus urgents du quart le plus faible de la population des États-Unis. Pour organiser la paix, nous devons paisiblement travailler à un nouvel équilibre global, principalement dans d’autres domaines que militaires. Défier le pouvoir hégémonique en lançant de nouvelles courses aux armements ne mènera nulle part. Seules la Chine, et peut-être la Russie, pourraient suivre cette voie, jusqu’aux limites de leurs forces économiques, avant de se rendre compte que la taille de leur territoire et leurs immenses populations sont une force intrinsèque. Mais c’est dans le domaine de l’information, des finances, du commerce, de la technologie, de la culture et de la loi que l’unilatéralisme outrancier mènera à de plus en plus d’isolement. Le changement d’attitude du public envers l’administration Bush est profond en Europe, malgré un sentiment normalement très pro-américain. Brzezinski a raison quand il observe l’influence jamais égalée jusqu’ici des États-Unis dans les sciences économiques, les finances, l’armée, la culture, etc. Il serait si facile d’employer cette influence d’une manière sage et équilibrée, tout en s’appuyant sur des alliés partout dans le monde. L’équipe Bush-Cheney en a décidé autrement. N’étant pas anti-américain du tout, j’espère que nous parviendrons finalement à convaincre les citoyens des États-Unis – contre leurs grands médias – qu’ils sont manipulés d’une manière que personne n’aurait pu imaginer il y a seulement quelques années. Et qu’ils doivent faire en sorte de modifier la trajectoire dangereuse que l’administration Bush est en train de suivre. Internet permet l’accès à d’autres informations, ce dont les gens se rendent bien compte. Nous devons donc alimenter Internet, et d’autres médias, avec des informations fondamentales. Faire éclater les opérations psychologiques menées dans nos médias par le Pentagone, la CIA, mais également le Mossad, et leurs satellites, est la tâche la plus importante qui nous attend. Cela peut paraître étrange, mais poser obstinément la question à qui profite le crime ? », face aux références médiatiques quotidiennes à al Qaïda, ben Laden ou Zarkaoui, mènera très souvent à voir les choses de façon opposée à la désinformation officielle. Et nous devons insister sur l’obtention de preuves tangibles et vérifiables, afin de dénicher les opérations de propagande. Les confessions sur Internet, vidéos, enregistrements sonores et autres preuves obtenues par la torture ne sont pas fiables, tant qu’elles ne sont pas corroborées par des éléments vérifiables. Puisque la plupart des terroristes sont des marionnettes choisies parmi les jeunes drogués, ils peuvent aisément être forcés à passer des accords avec l’accusation. En échange de la clémence, ils seront disposés à faire un faux témoignage devant une cour criminelle, témoignage qui sera utilisé pour confirmer la propagande. Pour mettre à jour les opérations de déstabilisation et les faire dérailler, il faut suivre le flux du trafic de drogue et le blanchiment de l’argent servant à financer ces opérations secrètes. Dans tous les pays industrialisés, il existe des arrangements entre les agences chargées de la répression du trafic de drogues, comme de celle du crime, et les services secrets, telle la CIA, pour découvrir les canaux de circulation de la drogue en observant juste les chemins, les moyens et les personnes utilisés. Caché derrière ce procédé, se trouve le processus secret de financement du crime organisé et de son influence jusqu’au dernier des junkies. En fait, les drogués payent la facture non seulement pour le crime organisé et les barons de la drogue colombiens ou afghans mais également pour les manipulations de la CIA et autres services. Et 80 % de l’argent servant à acheter de la drogue proviennent de la petite criminalité... Pour l’instant, on ne peut pas contrebalancer le pouvoir hégémonique. Cependant, la manière partiale, unilatérale et très souvent corrompue, dont l’administration Bush mène les affaires du monde produit une image extrêmement négative pour les États-Unis. Cela pourrait devenir un handicap pour les secteurs qui ne sont pas partie prenante du complexe militaro-industriel, et être la pression nécessaire sur l’élite politique américaine . Mais nous ne devons nourrir aucune illusion en sous-estimant la puissance extraordinaire que le complexe impérial et néo-colonial exerce sur la politique. Le chemin sera très long.
Plus de 4 mois après le début de la guerre en Ukraine, la peur d'une invasion en Géorgie se fait de plus en plus ressentir. Les soldats de la légion nationale géorgienne s'engagent auprès des forces ukrainiennes pour faire reculer les soldats russes. Article rédigé par Publié le 27/06/2022 1511 Mis à jour le 27/06/2022 1613 Temps de lecture 1 min. Cette guerre, c'est aussi la sienne. György, 38 ans, est l'un des piliers de la légion nationale géorgienne. "De nombreux Géorgiens sont venus pour aider car nous avons un ennemi commun c'est le mal contre le monde civilisé", explique t-il. Depuis le début du conflit, des centaines de volontaires géorgiens ont rejoint l’Ukraine avec l'objectif de participer à la défaite de la Russie pour l’empêcher de s’en prendre, par la suite, à la Géorgie. Tbilissi, la capitale géorgienne, a également connu la guerre contre Moscou, c’était en 2008 et elle s’est soldée par l’annexion de 20% de son territoire. Lors de l'entrainement du bataillon dont il fait partie, György pointe la responsabilité des alliés de la Russie comme la Syrie, l'Iran ou la Biélorussie. "Tout ce qui se ressemble s'assemble", ajoute-t-il. "Dans ma vie, j'ai assisté en Géorgie à cinq guerres ou guerres civiles. Toutes provoquées par la Russie. Donc, pour moi, c'était un devoir. Je n'avais pas d'autres choix que de venir ici". Comme tous ses camarades, György rejete catégoriquement les accusations de néonazisme régulièrement formulées par Moscou. "En 2008, lors de la guerre contre la Russie, en Géorgie, nous les avons démasqués. Ils détruisent des villes, violent des enfants, brûlent tout sur leur passage. Ils tuent. Et c'est nous les néonazis ?", s'insurge t-il. Depuis le début de la guerre, ce bataillon géorgien a perdu une vingtaine de combattants. Beka, 33 ans, de retour du front, a échappé au pire "Mon corps est plein d'éclats d'obus, j'ai la jambe et le bras cassés". La colère se lit dans ses yeux, il en veut aux soldats Russes qui occupent une partie de son pays depuis 2008. "J'ai perdu mon village, ma terre natale est occupée par les Russes. C'est la raison pour laquelle je suis venu en Ukraine pour les combattre et, un jour, je reviendrai en Géorgie et je les chasserai de chez moi", détaille t-il. Ces combattants en sont persuadés si la Russie gagne en Ukraine, elle se tournera vers la Géorgie. Des volontaires Géorgiens partent au combat en Ukraine. Un reportage de Omar Ouahmane écouter
Jean Rochefort et Mandoline [03 décembre 2003] 21 520 personnes à ce jour ont signé la pétition demandant à Dieu le retrait immédiat de la mort de Jean ROCHEFORT » survenue le 09 octobre dernier. Une bonne occasion pour Dieu, s’il obtempère, de ramener à lui par millions les brebis égarées que nous sommes. À cette occasion est ressorti un document de 2004 où Jean ROCHEFORT évoque un souvenir violent à la Libération, une femme mise à nu et tondue sous ses yeux de gamin. Il s’adresse à ces femmes, des mémères » aujourd’hui comme il dit avec tendresse. Nous en avions rencontré une en 2003, MANDOLINE, qui avait voulu pour la première fois à 81 ans raconter son histoire. Au moins 20 000 femmes furent ainsi tondues à la Libération, la plupart ont caché toute leur vie cette torture morale et physique tout comme aujourd’hui, celles qui dénoncent leurs agresseurs, leur PORC. Voici l’histoire de SIEGFRIED et MANDOLINE. Merci à Jean ROCHEFORT et merci par avance à DIEU. Si, si… Traînée, pouffiasse, paillasse à boches ! » À la Libération, plus de 20 000 femmes accusées sans preuve de collaboration horizontale » furent tondues en public un peu partout en France. Les exécutants, juges et bourreaux, étaient souvent des combattants de la 25ème heure, des faux résistants d’une rare veulerie. En 1964, l’hommage de Brassens à la TONDUE fit scandale. Comme Jean ROCHEFORT, il n’avait pas osé intervenir. Il avait juste ramassé une mèche de cheveux qu’il avait mise à sa boutonnière. Brassens était fier de n’avoir mérité aucune décoration mais, disait-il, j’ai ma rosette à moi, c’est un accroche coeur. » Une émission diffusée la première fois le 03 décembre 2003 sur France Inter. 16 août 1944, rue Collin-d’Harleville, à Chartres photo Robert Capa © International Center of Photography / MAGNUM PHOTOS Montélimar, 20 août 1944 Marcelle Polge a été fusillée le 02 octobre 1944 à Nîmes, après avoir été tondue. Son cadavre a été mutilé, un manche à balai planté dans le vagin. Les tondues de la Gironde, 29 août 1944 France, 1944 Programmation musicale Zarah Leander Sag’ mir nicht Adieu Georges Brassens La Tondue
nous qui avons lutté dans toutes les guerres