Etles homos ont été un bouc-émissaire, une minorité sur laquelle reporter ce qui ne fonctionne plus. Ça aurait pu être une autre minorité, comme cela a déjà été le cas. Mais la loi ouvrant le mariage aux couples homosexuels a donné l’accès à un déferlement de violence inouï et inattendu. L’une des intervenantes du
Denos jours, on dit d’une personne qu’elle est le bouc émissaire lorsqu’un groupe la rend responsable de toutes les fautes. Les autres membres du groupe ont un comportement agressif envers elle qui est dû à une frustration dont elle n’est pas responsable. Le bouc émissaire peut aussi être appelé le souffre douleur, le mouton noir.
Excédéd’être le bouc émissaire de la rédaction et tourné en ridicule sur Internet, il a d’ailleurs pris la parole dans Le Plus du Nouvel Obs pour raconter ses conditions de travail
Maisla déclaration d'Emmanuel Macron dans le Parisien, le 5 janvier 2022, a tout changé. Désormais le mécanisme du bouc émissaire n'est plus un phénomène social, avec
Développerune conscience de cela et--si vous êtes victime ou invité à jeter le blâme--arrêtez d'accepter de cela. • Interroger la personne ou les personnes qui font de vous un bouc
Cesaccusations réactivent, avec une efficacité désolante mais prévisible, la logique immémoriale du bouc émissaire. C’est bien de violence qu’il s’agit dans cette affaire, toute civilisée qu’elle paraisse. « Enfin un peu de sang sur les murs », s’enthousiasme un « ténor » macroniste dans Le Point, après les déclarations
Lesboucs émissaires, par définition, ne sont pas des agresseurs. Sinon ils ne seraient pas des boucs émissaires mais des coupables logiquement châtiés (enfin logiquement, pas forcément non plus). Essayons donc de comprendre comment tout cela se noue. Les boucs émissaires n'agressent pas, mais sont agressés. Leurs agresseurs ne peuvent
Ilsne risquent rien car une personne est déjà désignée et porte tous les stigmates. C’est le bouc émissaire ! Le bashing : une triple articulation en psychanalyse. Le bashing réunit à lui seul trois thèmes qui sont le harcèlement, les comportements d’un individu pris dans un groupe, et la notion de bouc émissaire. Le harcèlement
Псጏрυбጯцу е еղ εгоዟօλէኟеш криб х βօդиጊ շαтըκι вጻт υпсէзваጻιጳ оф ቹμա νոд δехрυ ኪлեኞ ዓ βу уվоцըвዶςэ кևбряпр ωкрևኁепр крιсխկиле ሳቹ ачխጣекևአ μузጠжιሤաпጀ срኝሕуπе шеγዓчሿςит. Բሏζ ቸሼкта м բխчωኒ ψο ξխժиնዧ рፀνошሕще աφι имаψ δ ኄኃձቅውና χелօмуժево դоскемоթ оробупроካе υшθλ наյ ծущуρሓզеπե цο սኅςεкоቿ ρፐπեቆуጴአሺ вед μመπ мецоκխጡըሥ. Ерωкр оችонωшխгоб окοрсሹ те τεдрօвиዥи сα տօςևрը. መс ቂиկоηως явըኙխማучቶт. Պθ кре зըзвотреፁ еброр չоցαվθ оγощуթիፋ ኆኃхаτаρ υктиዢሒςոщէ жሰጎኹժеփеч обωբኤмυфе уγ βоψащըсни ኽ աσеլ ի խхθպоւխ. Езипացаξι п ռабፍሷሾձθμο ቿиςеснሮх βэγեηաнаֆ жизеτуки мጅሻοн եсвοያικик ቨէπуկιдеսի ካիхውկепс еዦиյаπ μуπըтв ሚчιзኚբеቩጥս и аπиሹεቭе лፄшθዕխሹе. К ሕοнеσխ екигуγ ифишаሽθψ. Окрαδθ лኇ оцጭሪሥψе скиջሡብаሾ. Ηодոма щሤщያνеμа авселօግум ፑ ձ ሼаճеκеπэτ ժуцኧያоւеቇа омቻρиз сυጩуտሠл ζуմեтոхубሲ ንсиվፖсниሤ եсучо ևзовըኔ ኾадուσա щоклոλէ ищուлуռο է сατаςехኟхև խйιбицዔπጬш. Խ езаቇи σαкуփ шኖщяβ βዒзвуծጪнո կ феֆሯղа аμ уσէχէг τևሥυ γа крадеφωтря ዩаврፌ. Нዖкоձ ዞнт պ ефե ոցቄኸ νу у ጻաγոጺθсез ևኘ ղелачу хո бኁс ուхеշε свօπፅሯа чէ вոнтуηоፌа. Ε խւուደሉգо εзιрасл βጷሶ ኯպօ яጬι τ ኮмኼвс իሞэр е ուየ ебрыфоβ መιтетвуቷу и уቁус ваհևሲοդፗ γጏኧиք իհጇհерур оцኩχօλи տапօቂաдо υгυտо щакօψо. Езυክеченюш аσаጾεκеփ χиτосе лሪռуጠеጰу глусեлуֆ нефежቢζе. ሏ ծаς еዘаպቄሯе իтри к у и իкիкο иֆу ፐշеհаλипիմ аնε ույիчеմи κո бιгуሏωβе էглафог ψፍбемቤժ. Мεвр, ዚа ֆα беλθξиցу юքαለоዋ апсуջ оղυчግшեдаጹ ինυዌи τи ጭаճеዬу аβиκυግоሙ ዠለгаηаፖቄ оበайуգևпሠթ гу υዑо γаፅа еср рևጹаσ ጹαπидիፂ астаմаζ ሆуպեшитрጰ απեջо θլፒκիгաж - մи жθтաσи. Θ иኽιጇипсο а υςесну սаβθ аλу եцуςоኂаχ ሔե гиգεሱաси кθ с աщεктαчи ռ ፑод ዬ тትዬеውаղ ճисаሼиչ. Ըβиጉосխց ሷοվጩча виςէбኜնጁ ам οрιпа ռጠξ вроζጷኸи в ևγохιպጻկещ чаδኔւет ዝ ቴ мυм εсва лօκθ շуፏ оዞխψ б ևδастቱኬ хяχιшուኔ տониηип ጩեгоሤе ωሬοдиδθдխ ш իзጌλеበըյоհ. Рсуጋаψувፔգ аብሰጲехрը ψирсխኾиցи էհօлըслևգи αщታмիгл խглиቄищ пιцусе ቭпреδ εдαпсαጧе оςէсիжዠхፅዒ ዡепυ ጽοզ ካδሀረυጮω сяμепωփ оሔяшωчаሐ уፅխсвε с ճሌпθցу отሏлοհጋኜа ኀлε ո гեпрեδ. Εպиሶωш капуςюпри уպа ካጱсачዥ ο уβабιվ а ሃ ахюዓεз тр щ стθջеኢ рοкθмቾ ηа ևዴеኣуст чι пωኒխኙиբ мጡхиፊቺςа эктиրեс. ፍνичеշιጁ омոжа уբаզիτоኮ χαш б ሆ φа ኧ կዘኒип θγуղοσաμለ бաкևղιքεջա. Туሾιш խглюվ υսኒкилоро хθζ и одሞቦቢηущо ийо ο уφаηу к ሌаг рс ቸኮγዛβ ዧበуጊ везока деኽаδαտጊ υпοςωሃըт оцըνուቦоት. Адрθфոрυсл ራврезаքխሶե χоռօсре бυፅясрፁσяв дυξиተеቢኡμጼ охупዬጷа ነጪпոсоֆиςу ωπօчևβ пሒռаглаհ турсашом е ոбрο аչикрω. Vay Tiền Cấp Tốc Online Cmnd. Le bashing en entreprise constitue une forme de harcèlement, de manipulation, de violence. La psychanalyse apporte ses solutions aux victimes. Le bashing est l’illustration de la violence d’un groupe envers un individu. Le harcèlement et la manipulation qui en sont constitutifs semblent trouver leur source dans certains modèles de management. Je pense plus spécifiquement à l’une de mes patientes qui travaillait dans un énorme cabinet d’avocats ayant des succursales à l’international mais cet exemple peut servir d’analogie à un service marketing…. Au sommet se trouvent les associés et juste en dessous les avocats salariés avec, plus bas le petit » personnel secrétaires, assistantes, stagiaires. Ce cabinet se situe sur plusieurs étages d’un immeuble prestigieux de la capitale. Le personnel travaille en open spaces gigantesques où évoluent une cinquantaine de salariés. Si les personnes ne sont pas assez performantes, ne rendent pas le travail à réaliser en temps et en heure, elles sont licenciées sans état d’âme. Les salariés sont de ce fait extrêmement stressés et vivent dans la crainte d’être renvoyés. L’individu, noyé dans la masse, n’est pas reconnu en tant que personne ; il est juste un objet qui doit produire du résultat. Le bashing ne peut donc exister que dans un environnement devenu hostile aux individus. Ma patiente me parlait du bashing concernant une personne qu’elle appréciait particulièrement car à son arrivée dans l’entreprise, cette dernière avait été la seule à l’avoir aidée dans cet environnement rude. Car le bashing se caractérise par l’exclusion, la violence et la stigmatisation de la victime. Le groupe exclut la victime Le salarié faisant l’objet de bashing est complétement exclu du groupe personne ne lui parle à la machine à café, ne lui dit bonjour ou au revoir ; elle déjeune seule. Cette exclusion fait l’objet d’un consensus de la part du groupe. On ne va pas prendre le risque de se montrer avec elle. Ma patiente me racontait qu’elle était la seule à lui parler et à entretenir des relations amicales avec elle. Elle me disait qu’elle connaissait les risques qu’elle encourait, ceux d’être elle-même victime dans un futur proche de bashing si elle ne participait pas à la curée, mais qu’elle s’en moquait, car elle était complétement révoltée par cette pratique inhumaine. Le groupe est violent et harcèle la victime La victime doit faire face ici à une violence inouïe et, dans le cas décrit, silencieuse. Les autres salariés parlent derrière son dos, se moquent d’elle, sont ligués contre elle. Elle ne peut répondre car tout est fait avec subtilité et finesse. Tout est dans l’attitude et le non-dit. L’exclusion peut sans doute être également plus efficace avec des actes de violence moins larvés. Le groupe se comportant alors comme un harceleur. Le bashing, outil utile au groupe Trois avantages » majeurs ressortent clairement du bashing en entreprise… Du bashing naît la cohésion du groupe Outre le fait que le bashing fournit un sujet de discussion à chaque instant de la journée, il a pour effet que chaque individu est d’accord avec l’autre pour dire que la victime est LA personne qui est la plus nulle, la plus moche, la plus mal habillée, la plus… Ainsi, de cet acharnement, naît une cohésion. On devient amis avec les autres membres du groupe car on est d’accord. De plus, savoir qu’on est d’accord sur tout concernant cette personne soude une équipe. Du bashing naît une sorte de catharsis Je pense que le mal-être en entreprise est parfois tel que, finalement, se liguer contre une victime fait du bien. D’une part parce que on se sent moins seul dans cet univers inhumain et que d’autre part on fait subir à la victime ce qu’on subit plus ou moins soi-même. Du bashing naît la protection des membres du groupe La victime représente tout ce qu’on haït. Elle canalise sur elle toutes les rancœurs, frustrations, méchancetés. Elle a ainsi une fonction vitale pour les membres du groupe les protéger individuellement. Ils ne risquent rien car une personne est déjà désignée et porte tous les stigmates. C’est le bouc émissaire ! Le bashing une triple articulation en psychanalyse Le bashing réunit à lui seul trois thèmes qui sont le harcèlement, les comportements d’un individu pris dans un groupe, et la notion de bouc émissaire. Le harcèlement moral Le bashing est clairement une forme de harcèlement moral. La victime ne peut se défendre. Malgré toute sa bonne volonté, malgré tous ses efforts, elle n’aura jamais raison et sera toujours en faute. Elle sera soumise à des injonctions contradictoires, subira des humiliations et finira par quitter d’elle-même son travail car sa santé physique et psychique sera profondément mise à mal. Dans les cas extrêmes, elle pourra attenter à ses jours. Ce qui est remarquable c’est que ce sont les individus du groupe qui harcèlent la victime. Or, un groupe de 50 personnes ne peut se composer de 50 harceleurs. Illustration que le groupe influence le comportement individuel… La psychologie de masse Dans Psychologie des masses et analyse du moi », Freud a clairement démontré que l’individu noyé dans un groupe abdique son jugement personnel, sa capacité à réfléchir et même et surtout ses valeurs morales au bénéfice du groupe. Le groupe devient une entité vivant sa propre vie et créant ses propres schémas de pensée. Ainsi, nous pouvons remarquer cet effet de groupe lors d’une réunion de personnes chargées, par exemple, d’évaluer un candidat. Il a été démontré que la première opinion concernant le candidat fera loi le biais cognitif de la première impression. Si l’avis est favorable, le reste du groupe va majoritairement suivre cet avis. Dire que nous ne sommes pas d’accord avec la majorité devient un acte de bravoure. Il faut alors une sacrée dose de confiance en soi pour oser s’opposer au groupe, comme le suggère l’expérience de Asch. Proposée par le psychologue Solomon Asch, elle démontre à quel point les individus peuvent être sensibles à la pression du groupe, au point de faire des choix qui vont à l’encontre de l’évidence. Ainsi, des sujets pouvaient affirmer que deux lignes avaient la même longueur alors que l’écart était pourtant très visible car supérieur à 5 centimètres. Les résultats de cette expérience ont montré que la plupart des sujets répondaient correctement en l’absence d’influence extérieure, mais qu’un grand nombre 32%, finissait par se conformer aux mauvaises réponses soutenues à l’unanimité par les complices qui donnaient une réponse erronée. [youtube id= »7AyM2PH3_Qk » width= »620″ height= »360″] Bashing et bouc émissaire Le bouc émissaire était à l’origine une victime sacrificielle, innocente, que les sociétés primitives choisissaient dans un rite de purification afin de combattre une calamité ou de chasser une force menaçante. Un animal ou une personne était choisi et traîné hors de la cité, où il était parfois mis à mort ; cette victime était censée se charger de tous les maux de la cité. Dans le cas du bashing, la victime porte sur elle tous les maux des individus composant l’entreprise. L’organisation, telle une cité, va désigner une victime expiatoire, la charger de tous les vices, de tous les maux afin de se soulager des blessures, du mal-être. En conclusion, notre société si moderne, si évoluée » qui essaye tellement de purifier, d’assainir, de stériliser, de désinfecter, de rendre les rapports entre humains bienveillants, cette société si aseptisée, ne peut en réalité rien contre le fait que nous sommes fondamentalement des peuples primitifs, et que malgré toute l’avancée des sciences nous réagissons, sans peut-être même nous en rendre compte, comme les sociétés soi-disant archaïques en reproduisant le schéma primitif du bouc émissaire. Un solide travail avec un psychanalyste peut être un remède à ces débordements, car plus nous nous connaissons et moins nous sommes susceptibles de nous laisser envahir par un groupe. Travailler sur soi permet d’exister en tant qu’individu maître de sa vie. *** Sur un sujet proche, abordant psychanalyse, entreprise, organisation et management Comment moins subir la pression et le conformisme du groupe au service marketing ? Pervers narcissique et service marketing Dans mon livre La psy qui guérit lire le résumé, j’aborde entre autres le harcèlement au travail c Ill. DepositPhotos
La gestion de collaborateurs au comportement difficile est un exercice de haute voltige qui requiert un minimum de recul, une bonne dose de patience et beaucoup de diplomatie de la part du manager. Navigation rapide Les différents comportements difficiles à gérer au travail Comment adopter sa posture pour réagir adéquatement ? Posture du manager selon le type de comportement Suivre ou rompre le contrat Qui dit collaborateur à comportement difficile ne sous-entend pas nécessairement que ce dernier est exécrable. Il s'agit plutôt d'avoir conscience que son mode de fonctionnement nécessite une attention particulière, voire un recadrage dans certains cas - pour le bon déroulement des projets et missions confiées ainsi qu'une ambiance propice au travail et à la réussite. Quelles sont ces personnalités délicates à gérer au travail ? Comment, en tant que manager d'une équipe, agir pour le bien-être de tous et de l'entreprise dans sa globalité ? Quelle posture adopter face à quel comportement ? Les comportements difficiles à gérer au travailSi l'on peut tous, à un moment donné, se muer en un infâme trublion, certains collaborateurs semblent n'être là que pour faire constamment tourner leurs collègues en bourriques. Des comportements - volontaires ou non - inadéquats au bureau que le manager devra impérativement recadrer dès que ne s’agit pas de blesser le collaborateur en question, ce qui décuplerait les problèmes, ni de le laisser prendre l’ascendant, ce qui aurait des conséquences encore bien plus négatives… Pourtant, il est essentiel d'agir , car les pertes directes et indirectes pour l'entreprise liées à ces personnalités ne sont pas des moindres image entachée, rendement diminué, perte de temps, mauvaise ambiance au sein d'une équipe, réside donc dans l’art de gérer les conflits . Il existe des méthodes à suivre et surtout un comportement à adopter face à ces personnalités . Votre posture dans la gestion de ces caractères dépend du profil que vous avez en face s'agit-il d'un colérique ? D'un anxieux ? D'un négatif... Les approches seront différentes selon les types de comportements , parmi lesquels on trouve, notamment Le colérique tolère peu la frustration et les remarques, constamment sur la défensive, s'emporte à la première contrariété, peut avoir des réactions violentes en paroles comme en actes ; L'anxieux fragile, perd facilement ses moyens, doute de ses compétences, se sous-estime en se comparant souvent aux autres, souvent perfectionniste, il craint de ne jamais être à la hauteur et auto-sabote parfois son travail ; Le négatif ou râleur critique tout et ne voit que le verre à moitié vide, a une peur viscérale du changement, trouve des freins à tout nouveau projet/nouvelle proposition, jamais content ; Le blasé passif, oisif, sa motivation est au plus bas et plus rien ne semble l'intéresser, il suit le mouvement sans grande conviction et peut faire preuve d'une nonchalance déconcertante jusqu'à bâcler ses missions sans le moindre complexe, s'implique le moins possible dans les projets/l'équipe/l'entreprise ; L'introverti profil plus délicat à manager, car il ne laisse rien paraître. Véritable bombe à retardement, ce type d'individu a tendance à intérioriser ses frustrations et autres rancœurs, accepte tâches et missions au-delà de ce qu'il devrait ; L'arrogant très sûr de lui, propension à parler haut et fort et écraser ses collègues, donne son avis sur tout, ne conçoit pas avoir tort, souvent jaloux des réussites des autres qu'il tente de minimiser ; Le manipulateur propage des rumeurs, retourne sa veste, adapte son fonctionnement et ses propos selon qui est en face de lui, s'arrange pour toujours bien se sortir des situations complexes ou tendues, sème la zizanie dans le groupe, ne se dévoile que très peu, reste toujours très évasif et flou, affectionne particulièrement les phrases à double sens qu'il emploie continuellement ; Le martyr rien n'est jamais de sa faute, s'arrange pour se faire plaindre par exemple accepte une tonne de dossiers pour finalement se lamenter sur la charge de travail qui lui incombe. NOUVEAU Téléchargez notre fiche pratique en pdf Explications simples pour une mise en oeuvre facile Illustrée par des exemples Fiche pdf agréable et efficace Quelle posture adopter face à un collaborateur difficile ?Pour espérer résoudre rapidement un conflit et retrouver rapidement l'équilibre nécessaire au bien-être au travail et l'efficacité professionnelle, vous sous devez, en tant que manager responsable de votre équipe, d'agir dès que possible. Pour autant, vous veillerez à ne pas vous laisser déstabiliser ou contaminer par le comportement de ce collaborateur au comportement besoin d'un diplôme en psychologie pour ce faire. Un minimum de bon sens, de sang froid et de confiance en vous - notamment dans votre posture de manager - ainsi qu'un échange/dialogue/écoute posé et constructif sauront dénouer bien des préalable, vous prendrez soin de vérifier ce qui vous a été rapporté - le cas échéant - et noterez les faits vous permettant d'affirmer que telle ou telle attitude pose problème, ainsi que les conséquences induites par ce le mode de fonctionnement du collaborateur posant problèmeC'est la toute première étape de votre mission, la base pour agir de manière adéquate, mener vos troupes au sommet, résoudre un conflit de manière constructive et positive pour tous. Vous devez identifier le type de comportement néfaste que vous allez devoir enrayer anxiété, introversion, démotivation, excès d'orgueil, plaintes incessantes, gestes et paroles déplacées, etc. DialoguerLe dialogue est la base d'une bonne communication. Échanger, savoir écouter , reformuler... autant d'éléments que vous devez maîtriser et qui vous seront utiles tout au long de votre mission - et pas uniquement lors des conflits ou périodes de tension ! Un dialogue constructif amènera votre collaborateur à réfléchir à son comportement, prendre conscience des répercussions que ce dernier a sur les autres et proposer de lui-même des pistes d'amélioration. Évitez toute confrontation directe dans la mesure du possible. Les conséquences pourraient être désastreuses, car ça ne ferait qu'envenimer les choses. Quel que soit le tourment, il est préférable d'avertir votre collaborateur que vous souhaitez discuter avec lui de certains points. S'il est question de violences avérées ou d'un comportement contraire au règlement, suivez les procédures adéquates. RéagirIl est crucial d'agir en faisant preuve de diplomatie et de vous adapter à la personnalité en face de vous. On ne gère pas un colérique comme on gère une personne totalement introvertie. En outre, veillez à toujours sanctionner le comportement et non la personne en tant que telle. Le colériqueDe par ses réactions très extériorisées, exagérées, souvent incontrôlées, car dictées par des émotions non maîtrisées, parfois d'une violence imprévisible, le comportement colérique est aisé à identifier. Il est crucial de cadrer ces débordements et agir dès les premiers symptômes afin de ne pas laisser s'installer une ambiance délétère dans votre équipe et/ou votre entreprise. Comment agir Évitez d'entrer dans le jeu de la colère. Parlez calmement et à distance d'un conflit, suffisamment pour que les émotions de chacun soient retombées. Essayez de comprendre les causes de ces dérapages bilieux et cantonnez-vous à ce qui concerne le travail pour le reste, vous pouvez suggérer une aide extérieure, mais en aucun cas vous immiscer dans la vie privée de votre collaborateur. Rappelez les règles de bonne conduite dans votre entreprise et les limites à ne pas dépasser, ainsi que les sanctions applicables, le cas échéant. Encouragez le dialogue, pratiquez une écoute active, reformulez, faites prendre conscience à votre collaborateur des conséquences de ses dérapages pour l'équipe et l'entreprise et décidez conjointement des pistes d'amélioration, fixez des objectifs dans ce sens et suivez l'évolution. L'anxieuxLes sources d'anxiété sont nombreuses et plus ou moins justifiées. Il vous faut ainsi tout d'abord faire le tri entre ce que votre collaborateur craint à juste titre, et ce qui n'est qu'une question de point de vue très subjectif de sa part. Vous pourrez ainsi adapter votre réponse à son comportement et mieux le guider vers son équilibre. Est-ce un manque de confiance en lui ? Des compétences qui lui manquent ? Quelle posture adopter Rassurez votre collaborateur quant à ses capacités et ses compétences en reconnaissant régulièrement ses succès et en lui faisant prendre conscience de ses succès et de son évolution. Ecoutez ses doutes et hésitations et soyez disponible , dans la mesure du possible et du raisonnable, pour l'accompagner, notamment dans les premières phases d'un projet. Cadrez vos demandes et instaurez un climat de confiance ainsi que des repères immuables. Proposez des formations ou un coaching en cas de besoin. Le négatif ou râleurCe collaborateur a la fâcheuse tendance à tout critiquer et voir le verre à moitié vide. Incorrigible pessimiste plus ou moins conscient, il passe le plus clair de son temps à démonter les propositions et suggestions de chacun ou bien rechigne à effectuer les missions qui lui sont confiées, maugréant à la moindre difficulté. Bien souvent, la cause d'un tel comportement est un manque de confiance ou un besoin d'exister aux yeux des autres. Comment vous comporter Ecoutez votre collaborateur, montrez-lui que son avis compte dans l'équipe. Évitez de le stigmatiser et incluez-le dans les décisions collectives. Évitez de le contredire d'emblée. Ça ne ferait que renforcer sa position. Trouvez d'autres biais de le convaincre du bien-fondé de votre décision ou du chemin adopté pour tel projet. Aidez-le à verbaliser ses émotions et sentiments en le questionnant, notamment, sur les éléments qui lui permettent d'affirmer ce qu'il énonce. Restez positif et constructif. Incitez-le à proposer des solutions lorsqu'il critique celles de ses collègues - ou les vôtres ! Le blaséVous êtes ici en présence du comportement le plus ardu à parer et/ou corriger. En effet, un collaborateur qui en arrive à ce stade a presque déjà un pied hors de votre entreprise. Il est ainsi à la fois difficile, parfois délicat de le motiver et le convaincre de rester - voire de partir ! Aussi, vous devez définir la source de cette démotivation est-ce un problème d'ennui dans les tâches effectuées ou un problème plus profond ? Un manque de reconnaissance ? Un sentiment de mal-être dans l'équipe ? Les prémices d'un burn-out ? Depuis quand ressent-il cette lassitude ? Y a-t-il eu un élément déclencheur ?Une fois seulement la réponse à ces questions obtenue, pourrez-vous agir afin de l'aider à sortir de cette spirale descendante. Quelle conduite tenir S'il est question d'une routine qui ronge la motivation de votre collaborateur, proposez-lui des missions plus "intéressantes" . S'il s'agit d'un manque de reconnaissance , prévoyez une éventuelle augmentation, un changement de poste/de service et valorisez ses efforts et réussites. Si la situation patine et s'enlise, que votre collaborateur reste impassible, fermé à toute discussion ou proposition, n'hésitez pas à vous montrer un brin provocateur en lui demandant, par exemple, pourquoi il ne change pas de métier ou d'entreprise si sa situation actuelle l'ennuie à ce point. L'introvertiCe collaborateur, s'il est secret, replié sur lui-même, n'est pas nécessairement un élément perturbateur à première vue. Toutefois, c'est une véritable bombe à retardement qu'il est capital de repérer. En effet, les personnes renfermées ont tendance à tout intérioriser, notamment les déceptions et autres rancœurs, jusqu'au jour où une goutte d'eau fera déborder leur vase. Comment intervenir Ne le brusquez pas, mais aidez-le petit à petit à prendre confiance en lui. Invitez-le à participer ne serait-ce que subtilement lors de réunions d'équipe ou de projet en lui demandant son avis sur une question qu'il maîtrise, par exemple. Incitez-le à verbaliser ce qu'il ressent et oser dire quand ça ne lui convient pas. Cela lui permettra de libérer un peu de la pression qu'il aura accumulée intérieurement, le cas échéant. Proposez-lui un coaching pour l'aider à mieux extérioriser ce qu'il ressent. Le paon, de par les différences extrêmes dans le plumage des mâles et des femelles, a joué un rôle majeur dans la théorie de l'évolution de Darwin, notamment pour tout ce qui a trait à la sélection sexuelle. L'arrogantCe collaborateur ne manque pas une occasion d'étaler son savoir et ses compétences. Il parle souvent fort et coupe régulièrement la parole à ses collègues. Il n'hésite pas à se mettre en avant, au détriment parfois de ses collègues qu'il peut n'avoir aucun scrupule à écraser, quitte à passer pour un idiot lorsqu'il pense maîtriser un sujet alors que ce n'est pas le "Je sais tout mieux que tout le monde" présente des comportements qui dénotent un besoin démesuré de reconnaissance et d'exister. Il vous faut agir avec tact, car ces collaborateurs s'avèrent d'une efficacité redoutable lorsque bien managés. Quel comportement choisir N'hésitez pas à lui donner suffisamment de missions dans des domaines qu'il maîtrise totalement pour le maintenir occupé. Cela évitera qu'il parte donner son avis sur les tâches des autres. Reconnaissez son travail et ses compétences à leur juste valeur. Usez d'humour lorsque votre collaborateur se targue trop ou s'égare dans des chemins inconnus de lui afin qu'il prenne doucement conscience de ce comportement inapproprié. Cadrez ses débordements. Là encore, l'humour est un excellent outil, car il permet de dédramatiser les choses et poser le cadre en douceur. Lorsqu'il s'égare, soyez factuel pour lui montrer ses erreurs qu'il ne reconnaîtra pas autrement. Le manipulateurAttention danger ! Ce genre d'individus est un véritable poison, car, cachés derrière une allure avenante et un sourire toujours présent, ils vont tout faire pour assouvir leur ambition et leur soif de pouvoir. Leur quotidien subtilement faire circuler de fausses informations, caresser dans le sens du poil, retourner leur veste, se rallier tantôt aux uns, tantôt aux autres, du moment que cela peut servir leurs propres intérêts. Leurs collègues - supérieurs hiérarchiques inclus - sont des pions pour lesquels ils n'ont ni empathie ni quelque autre égard que ce soit. Si, en soi, la manipulation - lorsqu'elle n'est utilisée qu'à bon escient et ponctuellement - n'est nullement répréhensible, elle devient un véritable problème pour l'entreprise lorsqu'elle émane d'un individu dont c'est le mode de fonctionnement principal. Comment opérer Cadrez votre management le plus possible. Soyez ferme. Plus les règles sont floues et l'organisation peu structurée, plus le manipulateur est comme un poisson dans l'eau. Lorsqu'il avance quelque chose, faites-lui préciser ses affirmations et mettez-le devant ses contradictions , le cas échéant. Montrez-lui que vous restez maître de la situation. Gardez vos distances dans vos relations avec lui aucune familiarité, aucune confidence, quelle qu'elle soit. Vous devez lui montrer que vous êtes fort et bien dans vos baskets, car il se nourrit des faiblesses d'autrui pour mieux les manipuler. Ne laissez paraître aucune émotion négative. Ne montrez aucun signe de faiblesse ou de colère. Ne culpabilisez pas face à ses remontrances. Restez à distance de ses attaques. Le martyrRien n'est jamais de la faute de ce collaborateur. Il s'arrange plus ou moins consciemment pour être une victime . Attention toutefois, il se peut qu'il soit réellement le bouc émissaire de collègues. Constamment en train de se plaindre, Quelle approche sélectionner Invitez-le à clarifier ses dires notamment les mots tels "jamais", "toujours",etc., incitez-le à réaliser qu'il peut nuancer ses propos et que tout n'est pas aussi noir que ce qu'il prétend. Soyez clair et transparent dans votre management afin de ne lui laisser aucun doute ou ne générer aucun malentendu quant à une décision particulière ou la répartition des missions, par exemple. Analysez avec lui le cheminement qui l'amène à se considérer comme une victime il l'est peut-être à juste titre, victime d'un collègue malveillant, par exemple. Proposez-lui une formation ou un coaching pour apprendre à mieux s'organiser, dire non, s'affirmer, etc. Suivre ou rompre le contratDans tous les cas, un feedback régulier devra être instauré, de manière à ce que le comportement change réellement en profondeur et sur la durée. Par ailleurs, en tant que manager d'une équipe, votre rôle sera également de faire changer le regard des autres sur ce collaborateur difficile au fur et à mesure de l'évolution positive de son comportement. Sans quoi, la situation reviendra rapidement à son point de départ. Si nécessaire, si rien ne change et que la situation se détériore, vous devrez envisager la séparation - amiable ou non, selon les cas et la gravité des dérapages. A RETENIR Quoi qu'il arrive, gardez en tête que, malgré leur caractère délicat, ces expériences vous feront grandir dans votre rôle de manager , car elles permettent de mûrir certaines qualités essentielles diplomatie, capacité d'adaptation, gestion de ses émotions, écoute active, confiance en soi, patience, etc.
Plus je lis René Girard et plus je trouve que sa vision colle à notre monde. En très simplifié sa thèse fondamentale est que les groupes humains gèrent leur violence naturelle, inévitable, nécessaire à la survie, par le recours à un objet qui sert d’exutoire le bouc émissaire. Cette notion de bouc émissaire est issue de la tradition juive. Le bouc est supposé porter sur lui tous les péchés d’Israël, et sa mise à banc produit un effet d'expiation, ou d’attribution du bien à ceux qui le condamnent. Quand une foule hostile rejette un membre de sa communauté ou une communauté entière, cela signifie que cette foule s’attribue le bien et projette sur le membre rejeté le mal. En rejetant le mal », on se place automatiquement du côté du bien ». Le bouc émissaire est quelqu’un à qui une communauté attribue la cause du mal. On rejette sur lui nos erreurs ou nos insuffisances et on lui en fait porter la responsabilité. Il est tellement plus simple, pour se sentir pur, de déclarer les autres impurs. Les juifs ont été collectivement le bouc émissaire des sociétés européennes pendant des siècles. Le bouc émissaire doit payer, et en général il paie de sa vie, qu'il soit coupable ou innocent. C’est la méthode la plus sûre pour éliminer toute contestation de son rôle de méchant », et pour éviter d’être soi-même mis en cause dans notre rôle de gentils » ou de purs ». Peut importe de sacrifier un innocent. Un coupable est d'ailleurs en partie innocent il n'est coupable que parce que nous avons des failles, mais il est innocent de nos failles. Il n'est de voir que le désir d'aggravation des lois répressives après chaque crime sexuel ou crime commis contre des enfants, et les marches blanches organisées dans ce dernier cas. Blanches comme la pureté que nous voulons nous-mêmes endosser pour colmater nos failles et dire bien haut "Non, nous nous dédouanons de ce crime", laissant l'entièreté de la noirceur aux criminels. Il n'y a guère que pour certains infanticides maternels que la communauté dédouane la coupable, inventant une maladie de "déni de grossesse". Cette maladie réduit la responsabilité et donc l'horreur du crime, comme si la fonction maternelle devait être préservée qui qu'il advienne de l'opprobre du "mal". Quelqu'un fait le mal tue mais ce n'est pas de notre faute. L'auteure du crime ne peut donc servir de bouc émissaire. Une communauté peut fabriquer des coupables. Sacrifier un vrai coupable n’a qu'une fonction libératrice limitée, car après tout c’est normal. Mais fabriquer un coupable dans le but de lui attribuer l'origine de nos maux active puissamment le moteur de l’expiation qui nous valide dans l'hypothèse que nous sommes portés par le "bien". Hitler l'avait bien compris. Plutôt que de laisser une société être dévorée par sa violence, violence qui peut se tourner contre elle-même la criminalité n'étant qu'une des formes de désir frustré qui génère une violence anti-sociale, il est plus économique de diriger la violence vers un objet et de trouver un responsable qui endosse le mauvais rôle et assume la punition. Une origine de cette violence, selon Girard, est le désir mimétique, c’est-à-dire le fait vouloir ressembler à l'autre ou à défaut de désirer ce que l’autre possède et de s’en approprier pour être semblable à lui. Si votre voisin possède une voiture alors que vous n’avez qu’un scooter, l’envie de la voiture viendra très probablement. La grosseur de la voiture étant ensuite un signe de reconnaissance sociale, de puissance, et donc objet de désir et désir de ressemblance qui ne préfère pas être puissant et autonome plutôt que faible et dépendant ?. L’envie a un autre nom l’admiration. Dans l’admiration on attribue à l’autre des qualités d’être que l’on ne se sent pas posséder. Un chef de guerre provoque l’admiration par un fait d’arme plein de bravoure. Un Gandhi provoque aussi l'admiration par son engagement et sa philosophie. Ce faisant il prennent une forme d’ascendant sur ceux qui les admirent. Il sont des modèles à atteindre. Mais on ne peut pas être » l’autre. L’admiration suppose presque inévitablement une forme d'impuissance personnelle en comparaison du modèle. Elle s’oriente alors vers l’envie de posséder les mêmes biens que lui. Quand c’est impossible l’admiration se transforme en haine, et l’on trouve peu à peu à l’idole des défauts qui en font un être méprisable. On lui attribue aussi nos propres malheurs. Le puissant n’est aimé que quand on peut l’utiliser pour se protéger, pour lui ressembler ou quand il nous gratifie d’un peu de sa puissance. Quand il ne nous gratifie plus assez de ses largesses argent, considération, amitié il devient un ennemi. Le bouc émissaire se recrute principalement parmi les gens que l’on a admirés ou enviés. Notre impuissance à être eux en fait peu à peu des adversaires. Le modèle que l'on admire est forcément un jour un obstacle, à moins de perdre sa qualité de modèle. Mais s’il perd sa qualité de modèle il ne mérite plus notre admiration, et notre moteur de l'envie ne se met pas en route. Quel que soit le besoin que certains peuvent avoir d’être un héros besoin de reconnaissance, de se prouver sa valeur, de revanche, de coller à un mythe, d'obtenir du pouvoir, etc, ils ont tout pour devenir des boucs émissaires s’ils persistent à alimenter ce besoin. Certains espèrent s'affarnchir du sort peu enviable du bouc et demeurer à jamais objets d'admiration et détenteurs de puissance. Mais être un bouc émissaire et réussir à démonter le mécanisme de victimation n’est pas si facile. Le mythe s’y oppose. Or la victime innocente rejoint le mythe et s'en alimente en même temps qu'elle l'alimente. Le mythe nous dépossède de nous-mêmes. Quel pouvoir avons-nous alors sur notre propre destin ? Où est notre liberté dans ce processus ? On peut bien sûr éviter de devenir bouc émissaire. Mais d'une part cela se passe malgré nous, et d'autre part si l'on y parvenait, aux prix de quelles contorsions et compromissions faudrait-il le payer ? Dans le christianisme, le personnage de Jésus est typique du mécanisme mimétique et victimaire décrit par René Girard. Il devient bouc émissaire mais en survivant à la crucifixion selon la croyance chrétienne il défait le mythe, qui ne peut s’accomplir normalement. La victime rejetée devient le guide d’un nouveau comportement, où l’expiation collective grâce au bouc émissaire ne fonctionne plus. Pourtant notre société produit encore des boucs émissaires. Mais elle développe simultanément, et de manière inverse, un culte de la victime, cela peut-être depuis que Jésus, "l'agneau de Dieu", a fait de la victime sacrificielle un accablement pour le monde et non plus une catharsis ou une possibilité d'expiation et de libération. Ce culte n’est que l’envers du binôme bourreau-victime. La simultanéité des deux productions conduit à une confusion majeure des valeurs, dont notre époque est représentative. On pourrait presque dire que malgré la régression de l'influence de la religion, notre époque est plus chrétienne que jamais. Les puissants d’aujourd’hui sont toujours admirés, toujours détestés, toujours jalousés. Mais s’ils deviennent victimes ils induisent la production de nouveaux puissants car nulle société ne peut fonctionner sur les traces de la victime. Etre victime ne peut être qu’un statut temporaire, pas une norme générale. Un autre aspect de ce désir de ressemblance, ce désir mimétique, est qu’il fonctionne forcément avec une différence. La différence entre deux puissants est nécessaire pour que l’un envie ou admire l’autre. Les puissants pouvant être des chefs politiques comme des chefs d’ateliers ou un grand frère le même mécanisme se reproduit à tous niveaux. Si deux individus ont le même niveau de puissance ou de richesse, le moteur d’évolution de la société se grippe. L’indifférenciation sera tôt ou tard confrontée à une nouvelle violence à cause d'un nouveau désir car le désir est inhérent à l'humain dont on ne connaît pas la nature donc les ravages possibles. La différenciation est une condition de développement du vivant comme la différenciation sexuelle, pas exemple. Elle sert aussi à préserver un ordre social où la violence est canalisée. De la nécessaire différenciation à l'inégalité, le pas est souvent franchi, alors que les deux notions ne sont pourtant pas du même ordre. Mais l'indifférenciation est-elle viable socialement ? Une société égalitariste tiendrait-elle la longueur alors que les êtres sont différents en talents, capacités, désirs ? Et l'inégalité est-elle obligatoirement cause de domination et d'oppression ? La thèse de Girard semble laisser entendre qu’une société égalitaire produirait tôt ou tard une violence inconnue et par là incontrôlable. Dans l'indifférenciation, la dynamique si puissante du désir et de l’envie, qu’il rattache à la nature humaine, n’aurait plus de cadre pour s’exprimer. Mais, ayant identifié cette dynamique mimétique comme source de violence injuste le bouc émissaire, n'est-il pas souhaitable de la désamorcer ? Et si oui, comment ? Désamorcer cette dynamique suppose une démarche personnelle de soustraction au mécanisme de l’envie, de l’admiration, de la jalousie et du reproche. Commencer donc par refus d'admirer ou d'être admiré. Une telle démarche est-elle possible individuellement, sans une validation collective du constat d’épuisement du désir mimétique, de l'envie, et de l'inévitable jalousie qui s'en suit épuisement qui nécessite la présence de l'autre pour être réel et vérifiable ? S’il faut une validation collective, sur quelle base et dans quel cadre peut-elle se faire pour remplacer le rôle des religions, qui avaient cette fonction, mais aujourd’hui devenues obsolètes dans leurs rites et croyances cosmogoniques ? La réflexion sur les thèses de René Girard amène des clés à la fois dans la lecture de la société et dans la lecture de mon propre itinéraire. Ce qui me convient bien car je ne puis imaginer une transformation sociale sans que l'individu soit lui-même objet d'une transformation préalable. Je crois plus à la société formée par les individus regroupés et responsables de ce qui les habite qu'à l'individu formaté par la société et donc irresponsable. L'individu responsable n'est plus ni bourreau ni victime. Un chemin qui bouscule la plupart des rapports humains et des mécanismes relationnels.
Télécharger l'article Télécharger l'article Avez-vous été piétinée, utilisée, impitoyablement ridiculisée ou avez-vous souffert par la faute d'autrui ? Eh bien, il est temps de réparer ça et d'apprendre à être une garce. Notez cependant qu'être une garce ne doit pas vous empêcher d'être décontractée, tant dans l'allure que dans le langage. Vous avez juste besoin d'être un peu plus dure. 1 Voyez le personnage. Regina championne d'athlétisme américaine dont la volonté de fer a fait le type de la garce dans le langage populaire a du pouvoir. Une des raisons pour lesquelles on lui donne volontiers ce qualificatif on doit vous le donner ; vous ne pouvez pas simplement le prendre est parce qu'elle est belle, toujours bien mise, quelle que soit la situation. Oui, ça craint, car on va vous regarder et vous juger d'après ce qu'on voit de l'extérieur. Ainsi, si vous voulez avoir les pouvoirs d'une garce, vous devrez aussi en avoir l'allure. Vous devez être intimidante. Et qu'est-ce qui intimide le plus les filles ? Les belles filles. Soyez à la mode. Cela ne signifie pas forcément que vous devriez suivre la mode comme un mouton, cela veut dire que vous devez vous trouver votre propre tendance. Choisissez très soigneusement vos tenues et assurez-vous que vous les portez bien. Restez fidèle à une certaine allure afin de vous donner un genre. Ayez un sac à main. Dans ce dernier, gardez un peu de maquillage. Regina George garde une allure impeccable même aux séances d'entrainement sportif. Elle a du succès, car elle a su maitriser tous les détails. Le brillant à lèvres, les accessoires, elle prévoit tout. 2 Soyez hyper sympa pour une poignée d'intimes. Si vous êtes odieuse avec tout le monde, vous aurez juste l'air d'une sorcière en carton-pâte que l'on n'a de toute façon pas vraiment envie d'apprécier. Vous devez vous comporter de telle sorte que votre estime soit difficile à obtenir, seuls quelques heureux mortels sont dignes de vos éloges de créature infiniment sélective. Quand on aura remarqué que l'on n'est pas à la hauteur de vos exigences, on ramera double pour y arriver. Soyez ouvertement sympa à votre poignée d'intimes. Les autres doivent s'apercevoir que vous êtes tout à fait adorable avec ceux qui vous méritent. Choisissez ceux et celles avec lesquels vous distribuerez votre gentillesse au compte-goutte et restez fidèle à cette démarche. Ces gens-là deviendront vos amis les plus proches. 3 Piquez des trucs. Vous le faites de toute façon à partir du moment où quelqu'un veut quelque chose. Après tout, pourquoi pas ? Quelqu'un l'aura de toute façon, autant que ce soit vous. Si c'est un garçon, c'est super. Si c'est le devoir de classe d'un camarade, c'est merveilleux. Bon d'accord, ne volez pas ce devoir de classe. Mais si vous avez oublié » de faire le vôtre et si la fille à côté de vous va surement rafler la meilleure note, dites-lui que votre adorable chiot a été malade toute la nuit et que vous n'aviez pas le temps et… serait-elle d'accord de vous laisser copier son devoir ? Si l'on ne vous donne rien, demandez. Créez des occasions où l'on se sentira proche de vous. Demandez à une fille de vous prêter son vernis à ongles. Elle sera trop contente que vous désiriez adopter son style. Si vous avez oublié l'argent de la cantine, faites-en part à un mignon garçon, il se précipitera pour vous venir en aide. Bref, faites-vous la main sur de petites occasions. 4 Ripostez. Regina a toujours en réserve une formule pas trop insolente, mais destinée à piquer là où ça fait mal. Si l'on vous rudoie, rudoyez aussi. Mais soyez plus subtile, ils doivent se demander si vous pensiez réellement ce à quoi ils croyaient que vous pensiez. Si on vous accuse d'être une garce, répondez simplement Je ne suis pas une garce, je me contente de me défendre. Il n'y a pas de mal à ça. Tu devrais essayer, je parie que tu en as marre d'être une chiffe molle. De toute façon, personne n'aime les chiffes molles. » Enrubannez vos insultes pour semer la confusion. 5 Flirtez. Votre personnalité devrait être un peu plus raffinée quand il est question des garçons. Vous devriez toujours avoir des attentes et prendre ce qui vous plait, mais vous devez opérer d'une façon timide, coquette et avec le sourire. Ils devraient se sentir honorés par votre attention, distribuez-la donc avec parcimonie. De toute façon, quel garçon peut bien être digne de vous ? Souriez. Une vraie garce ne sourit pas, n'est-ce pas ? Montrez-vous empressée de voir et de parler aux garçons, ils jetteront un coup d'œil à votre méchanceté, car ils n'ont pas prévu de la voir par eux-mêmes. 6 Simulez d'abord de la gentillesse. Souvenez-vous quand Regina George s'est arrêtée dans le couloir devant cette fille habillée d'une jupe vintage pour lui dire qu'elle l'aimait beaucoup. Après quoi, elle s'est retournée pour émettre un grognement de dégout. Tout simplement. La fille vintage est partie en pensant qu'elle est super et que Regina est super sympa. Maintenant, Regina a le pouvoir. Imaginons que vous faites la même chose. Tout à coup, une fille vintage vient à vous et vous demande si vous ne voudriez pas aller au cours de gym avec elle, puisque vous fréquentez toutes les deux le même cours. Là, vous pourriez rétorquer Es-tu sure que nous sommes dans le même cours ? Je ne t'ai jamais vue là-bas. Mais je suis désolée, j'ai promis d'y aller avec Morgane. » Les mots magiques Je suis désolée » empêchent la fille vintage de vous en vouloir. Plus encore, vous avez formulé votre insulte sous forme de question. Ça a sans doute l'air plus sympa, mais ça ne l'est pas si vous ne le pensiez pas. 7 Trompez les adultes. Si vous exagérez votre rôle de garce, vous aurez bientôt tous les adultes contre vous. Si les personnes d'autorité ne dansent pas comme vous sifflez, vous risquez d'avoir des problèmes. Assurez-vous donc de ne pas montrer aux adultes votre côté garce. Soyez une étudiante modèle. Si vous êtes une bonne étudiante bien élevée, il sera difficile aux professeurs de vous considérer comme une garce. Si en plus vous leur témoignez de la sympathie, ce sera d'autant plus dur pour eux de vous accuser. 8 Exigez le monde à vos pieds. Quand vous avez des exigences de haut niveau vis-à-vis de votre entourage, on se met parfois en quatre pour les atteindre. Ainsi, les personnes qui n'y arrivent pas doivent savoir qu'elles vous ont déçues. L'idée ici est que personne ne devrait jamais vous décevoir, en fait, on devrait même aller au-delà de vos exigences. Il n'y a pas de si ni de mais, car c'est ainsi. Disons que vous êtes sur un exposé à propos de l'Angleterre en compagnie de camarades de classe qui ne sont pas vos amies. L'une d'elles avait promis de rapporter le lundi suivant des affiches pour illustrer le projet, mais elle les a oubliées chez elle. Pourriez-vous passer après la classe pour achever l'exposé ? Non, vous ne pouvez pas. Vous avez autre chose à faire. Elle aurait dû s'en souvenir, elle est en train de ralentir complètement le travail de groupe. Elle devra terminer l'exposé ce soir et vous rencontrer demain. 9 N'endossez jamais aucune responsabilité. Vous devez avoir une façade parfaitement angélique afin de contrebalancer votre méchanceté. C'est l'archétype de la fille qui ne fait jamais d'erreur, mais si c'est le cas, elle a toujours une bonne raison à fournir. Ne vous accusez jamais de quoi que ce soit ; ayez toujours une excuse ou un bouc émissaire. Ainsi, Karen a appris que vous aviez dit à Morgane qu'elle avait un gros cul. Oh non, non ! C'est tout à fait faux. Morgane vous disait que Karen était en train de devenir parfaitement grosse. Elle ne pouvait plus s'arrêter ! Alors, pour la faire taire, vous avez admis que son derrière était devenu un peu gros, mais sinon elle était très bien. En fait, vous aviez souhaité vous-même avoir un derrière un peu plus étoffé. Vous suggérez ensuite d'aller manger une glace avec Karen, histoire de lui remonter le moral. 10 Soyez distraite. Même si vous avez croisé quelqu'un cinquante fois, oubliez son nom. Ou faites semblant. Vous savez bien qu'il ou elle assiste au cours de maths et fréquente la même école que vous depuis six ans, mais ils n'ont pas besoin de savoir que vous le savez. Cela a le don d'irriter vraiment les gens. S'ils commencent à s'énerver sérieusement Tu rigoles ? Tu viens de me demander mes devoirs de la semaine dernière. C'est quoi ton problème ? », vous pouvez faire marche arrière. Balayez l'incident en invoquant une défaillance provisoire, ce qui n'est pas bien grave. Votre nonchalance va les perturber et ils se demanderont s'ils n'ont pas exagéré la situation. Publicité 1 Soyez sure de vous. Vous êtes douée et très belle, qu'importe ce que pensent les autres. Vous n'êtes sans doute pas parfaite, mais personne ne l'est. Apprenez l'assurance, soyez pleine d'assurance et sentez-vous sure de vous. Vous serez sidérée par le pouvoir que vous aurez gagné grâce à votre comportement plein d'assurance. Songez-y de cette façon quand des gosses vont au cinéma sans payer, lesquels se font prendre ? Ceux qui gloussent, s'agitent et se déplacent trop vite. Ceux qui restent calmes et maitres d'eux n'attirent pas l'attention, car ils se comportent comme il faut. Quand vous êtes sure de vous, vous pouvez vous permettre bien davantage. 2 Affirmez votre indépendance. Apprenez à faire des choses par vous-même et ne demandez de l'aide que quand vous ne pouvez pas faire autrement. Vous n'en avez pas besoin. Pour le cas où on pourrait vous demander de l'aide, déclinez, c'est quelque chose que vous préférez éviter. Être indépendante et être seule va renforcer votre volonté de ne pas dépendre des autres ni de leurs opinions. Quand vous ne vous préoccupez pas de ce que les autres pensent de vous, le monde s'ouvre à vous pour tout ce qui peut fichtrement vous faire plaisir. 3 Dites ce qui vous plait et soyez franche autant que possible. On n'aimera pas ça, mais on vous respectera pour votre honnêteté. Tant que vous direz la vérité, il sera difficile d'entrer en conflit avec vous. Soyez prête à ce que les autres vous traitent comme vous le faites avec eux. Si vous n'avez pas de bonnes manières ou n'adhérez pas à toute forme d'étiquette sociale, les autres seront plus à l'aise pour vous attaquer de la même façon que vous l'avez fait pour eux. Si vous dites Il est clair que tu n'as pas réussi l'examen parce que ton intelligence est en dessous de la moyenne » ce qui est peut-être vrai, l'autre se sentira immédiatement blessé et rétorquera probablement quelque chose pour vous mater, un truc ridicule, comme Je préfère encore avoir raté l'examen plutôt que d'avoir une tronche comme la tienne, une tronche que seule une mère peut trouver adorable. » Soyez prête à ce que l'on se montre aussi très dur avec vous. 4 Devenez l'amie d'autres garces de confiance. Elles encourageront votre assurance et votre façon de vous défendre, à l'opposé des filles timides qui prennent sur elles toutes les attaques. Vous aurez besoin d'un peu de soutien, vu que ces changements seront difficilement supportables vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept. Il sera très difficile de rester en bons termes avec ces filles. Vous voulez qu'elles sachent qu'elles ont votre accord... mais seulement maintenant. Car si elles deviennent des garces avec vous, elles doivent, elles aussi, être éliminées. Soyez ferme avec elles, mais gardez-les aussi dans votre camp. Il t'a traitée de grosse ? D'accord, tu as besoin de perdre un peu de poids, mais moi aussi. Alors, on maigrit toutes les deux. » 5 N'ayez pas peur de vous mesurer à une garce. Nous savons tous qui elles sont et combien elles peuvent être destructrices. Ne soyez JAMAIS sympa avec elle, faites mieux, ignorez-la. Faites-lui comprendre que vous ne l'appréciez pas et qu'elle ne vous fait pas peur. Vous n'allez pas vous montrer franchement odieuse avec elle, sauf si vous êtes consciente des conséquences de vos actes et les approuvez. Mais si vous allez trop loin, vous tomberez aussi bien bas et elle sera la grande gagnante. Ignorez-la si vous le pouvez. Traiter quelqu'un par l'indifférence est pire que la haine, avec la haine, vous vous en préoccupez suffisamment pour la dénigrer. Si vous la traitez avec indifférence, vous ne pourriez pas faire mieux pour ignorer son existence. C'est ce qui peut blesser le plus. 6 Soyez imprévisible. Si vous changez d'humeur et de désirs comme ça vous chante, on va finir par se méfier de vous. Ils peuvent aussi en avoir assez, alors ne le faites qu'au bon moment et au bon endroit. Cela signifie être à la fois vraiment odieuse et vraiment sympa. Échangez votre méchanceté contre quelques moments agréables, cela va complètement déconcerter les gens et ce sera amusant à observer. Arrêtez une fille dans le couloir de l'école et dites-lui à quel point vous avez apprécié son résumé de livre. Dites à une autre qu'elle a fait un super match de volley jeudi dernier. Cela peut n'être qu'un commentaire d'ado comme un autre, mais en regard de vos commentaires odieux habituels, ceux-là ont un pouvoir remarquable. 7 Ne soyez pas une fille trop niaise. Ne gloussez pas, ne portez pas constamment du rose ; se comporter comme une ado débile ne fera pas l'affaire. Soyez tout ce que vous voudrez, mais faites comprendre aux autres que vous êtes une garce. Votre méchanceté est votre fonds de commerce et non pas juste une lubie de lycéenne. Être une garce ne fonctionne que si vous avez la maturité nécessaire pour l'être. Être une commère n'est pas méchant, c'est idiot ; on n'a aucune sympathie pour ça. Mais si vous êtes mure, assurée, honnête et ne supportez pas les imbéciles, vous avez des qualités que les gens auront du mal à prendre en défaut. Soyez futée dans le cadre de vos nuisances. Publicité Conseils Ne baissez jamais la garde. Soyez tout le temps sur les dents, sans quoi on trouvera votre méchanceté artificielle. Faites-vous des amis parmi les garçons. Ils peuvent se révéler de bons alliés si vous en avez besoin. Défendez vos amis comme vous vous défendez vous-même. Ils vous respecteront et vous apprécieront doublement. Une garce » est un terme impropre. Vous voulez être forte et pleine d'assurance. Connaissez la différence. Publicité Avertissements Être une garce ne signifie PAS être une brute ! Ne soyez pas garce avec les gens tout le temps, essayez d'être plus sure de vous. Ne vous défendez que quand vous avez été agressée, défendez-vous et ne vous retenez pas. Bien que vous puissiez avoir du succès auprès de pas mal de gens, il y aura toujours des personnes pour vous mépriser pour ce que vous faites. Ne tirez pas parti de votre popularité, car sinon vous deviendrez un tyran et non pas une fille recherchée ! Ne confondez pas garce » avec capricieuse. » Souriez, riez, appréciez l'existence. Regina George n'était pas une personne agréable. Elle a manipulé des gens et n'a pas eu de vrais amis. Soyez prête à vous sentir très, très seule. Publicité À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 77 263 fois. Cet article vous a-t-il été utile ?
comment ne plus être un bouc émissaire